A bout de lance de Louis Raoul

Regard jeté du haut du poème, aussi leger que la feuille dans sa lecture de l’air. Sa chute en partage avec cet utre d’où est née l’alerte, puis la sentinelle : majuscule de la tour.
Poème
de l’instant
Épître V
Pour moi, sur cette mer qu’ici-bas nous courons,
Je songe à me pourvoir d’esquif et d’avirons,
À régler mes désirs, à prévenir l’orage,
Et sauver, s’il se peut, ma raison du naufrage.
Nicolas Boileau, Épître, « Épitre V », 1676.