Al Manar
Editions de livres d’artistes, de recueils de poésie et de nouvelles du Maghreb.
1er juin 2008
Poème d’eau et de lumière
Luis Mizon et Julius Baltazar
Poèmes d’eau et de lumière, 45 ex et 5 ex de chapelle, l’ensemble typographié sur vélin d’Arches par François Huin
et rehaussé par Julius Baltazar de deux lithographies originales tirées par l’atelier Arte Maeght, contrecollées sur le Vélin,
et d’une double page peinte par l’artiste et revêtue par l’auteur d’un fragment manuscrit.
1er mai 2007
Je te regarde
Nouvelle traduction, et première publication en France de ce recueil publié par Maram al-Masri à Damas.
Une poésie délicatement sensuelle, qui chante la femme et ses tourments.
Youssef Abdelké, peintre syrien, grand graveur devant l’Eternel, l’accompagne.
Préface de Salah Stétié.
1er décembre 2006
L’après-midi à Ugarit
de Salah Stétié, accompagné par Gérard Titus-Carmel.
Frontispice gravé par Titus-Carmel, tiré dans l’atelier de René Tazé.
50 ex. composés en caractères mobiles (Egmont de corps 12) sur Velin d’Arches, numérotés et signés par l’auteur et par l’artiste. 600 euros.
1er décembre 2006
Coeur à coeur de frère Bernard Perroy et Rachid Koraïchi
49 haïkus du frère Bernard Perroy ; 49 dessins de Rachid Koraïchi. 120 pages ; 18 e.
7 ex. de tête tirés sur Arches, rehaussés d’un dessin aux encres de couleur par Koraïchi.
1er mars 2005
Six poèmes nomades
Poèmes de Vénus Khoury Ghata sur des peintures de Diane de Bournazel.
9 euros.
1er juillet 2004
La brûlante rumeur de la mer
Tous les lieux mènent ici à la mer. D’abord intérieure. Brûlante. Dans la tourmente du réel. Portée par le vécu, l’intensité des émotions, le va-et-vient dans les souvenirs, douloureux ou conflicutels, le mouvement inlassable de l’être. Quête ontologique, écrite comme un journal poétique où s’entremêlent pays et paysages, lumière et ombres, aubes et pénombres, fortes sensations et interrogations inquiètes. L’écriture ne trouve nulle part havre de paix.
16 (…)
1er avril 2004
Les ruses de vivant
Dessins de Mohammed Kacimi.
Laâbi et Kacimi souhaitaient voir leur amitié donner naissance à une oeuvre commune.
Ce livre (l’artiste et le poète s’interrogeaient sur la mort approchant) est la première oeuvre posthume de Mohammed Kacimi - et sans doute l’un des textes le plus émouvants d’Abdellatif Laâbi.
Poème
de l’instant
L’énergie vagabonde
Quand un cheval de Troie entre dans une ville, porteur d’un virus qui affole les esprits et paralyse les corps, on a intérêt à emprunter les seules portes encore ouvertes : celles de la poésie.