Arthur Rimbaud

Les poèmes de "L’homme aux semelles de vent" chanté par Catherine Le Forestier, Colombe Frézin, Bernard Ascal, Léo Ferré, Patrick Janvier, Patrick Hamel, Kirjuhel, Chris Papin, Bruno Ruiz, Claude Vence ("Alchimie du verbe" ; "Le bateau Ivre" ; "L’éternité" ; "J’ai tendu les cordes" ; "On est pas sérieux quand on a 17 ans" ; "Chanson de la plus haute tour" ; "A la musique" ; "Le pauvre songe" ; "Bannières de mai" ; "Le mal" ; "Le dormeur du val" ; "Sensation" ; "Ma bohème" ; "L’étoile a pleuré Rose" ; "Ophélie" ; "Les poètes de 7 ans" ; "Rêvé pour l’hiver" ; "Voyelles" ; "Au cabaret vert").
Poème
de l’instant
Coplas
La vérité vraiment vraie
jamais ne se cache en l’obscurité,
elle se cache en la pleine clarté.
José Bergamín, « Coplas », Traduction de L.-F. Delisse, Revue Caravanes 8, Éditions Phébus, 2003.