Coplas
Il n’y a de chemins au ciel,
il n’y a de chemins en mer,
il n’y a de chemins sur terre
que pour seulement cheminer.
José Bergamín, « Coplas », Traduction de L.-F. Delisse, Revue Caravanes 8, Éditions Phébus, 2003.
Poème
de l’instant
Le voleur d’étincelles
Les heures ont écrit, dans le carnet, leur surprise.
Nadia Gilard, Le voleur d’étincelles, Vibrations Éditions, 2021.