Épître V
Pour moi, sur cette mer qu’ici-bas nous courons,
Je songe à me pourvoir d’esquif et d’avirons,
À régler mes désirs, à prévenir l’orage,
Et sauver, s’il se peut, ma raison du naufrage.
Nicolas Boileau, Épître, « Épitre V », 1676.
Poème
de l’instant
« D’un ciel à l’autre pareil… »
D’un ciel à l’autre pareil,
passent les rêveurs
Anthologie
Traduit de l’arabe (Palestine) par Elias Sanbar
Éditions Actes Sud