« Je touche encore aux frontières d’un mot et d’un autre pays »
« LOVE AMONG THE RUINS », tel aurait pu être le titre de cette soirée unique, tant ce poème de Robert BROWNING est cher à Amira CASAR. C’est la « BOHÈME » de l’autrichienne Ingeborg BACHMANN qui l’a emporté, pour son souffle à cheval sur les frontières. Avec elle, Rainer Maria RILKE, Anna AKHMATOVA, Henri MICHAUX, Marceline DESBORDES-VALMORE, Charles BAUDELAIRE, Christian BOBIN, Guillaume APOLLINAIRE ou encore Azadée NICHAPOUR.
Le tout sous la protection de la statue équestre du Colleone, le « Jugement dernier » de Michel-Ange, réinterprété par un peintre romantique, et les nombreux moulages d’œuvres du Moyen-Âge et de la Renaissance de la somptueuse chapelle des Beaux-Arts de Paris. La « Chapelle des Louanges » ainsi nomme-t-on ce vestige de l’ancien couvent des Petits-Augustins, fondé au début du XVIIe siècle par la reine Marguerite de Valois. Vaisseau à la voûte de bois en plein Paris préservé pour appareiller en compagnie d’Amira CASAR, Marie-Suzanne DE LOYE et Rusan FILIZTEK.
Avec la complicité de Laure EGOROFF.
Lundi 20 mars / 19 heures
Chapelle des Beaux-Arts de Paris
14 rue Bonaparte
75006 Paris
Réservation
ANNULATION FORCÉE
Gratuit sur réservation dans la limite des places disponibles
COMPLET
Nous espérons vous croiser sur un autre de nos grands rendez-vous.
Partenaires
Poème
de l’instant
Quand nous regardions depuis notre terre
Et la trame déchirée de l’espace
et du temps se trouve donc recousue
de mots
Jean-Louis Rambour, Quand nous regardions depuis notre terre, Éditions L’herbe qui tremble, 2021.