Kamerun ! Kamerun ! d’Elolongué Epanya Yondo

Dans ce livre que l’auteur dédie à Renée son épouse et à ses deux tantes, il ne chante en fin de compte que la femme-mère, mais surtout la mère première, c’est-à-dire la terre où il est né, son "Kamerun ! Kamerun !"
Poème
de l’instant
Mon corps et moi
Nu dans le soleil et si près d’être à jamais sauvé, c’est le réveil d’une chair pour qui la lumière, la joie ne peuvent être encore que d’intermittents miracles.
René Crevel, Mon corps et moi, Le Livre de Poche, 1991.