Lanore
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collection Alchimies poétiques
1, rue Palatine
75006
Paris
1er mars 2013
Inutile, de Mandin
Ce quatrième recueil de Mandin offre une perspective différente, bien qu’on reconnaisse cette écriture toujours aussi plastique - rare dans la poésie contemporaine. Si l’influence japonaise est présente, c’est sans doute parce que cette civilisation dans son essence porte beaucoup moins ce dessin de l’utile que la société occidentale, c’est surtout parce que le poète de "l’inutile" s’inscrit dans la recherche continue d’un sens qui s’élabore avec la rencontre anodine, l’importance de verbes récurrents - (…)
1er octobre 2012
"Traversée d’océans - Travessia de Oceanos - 10 voix poétiques de Bretagne et Bahia."
traduit par Dominique Stoenesco
1er décembre 2011
Capharnaüm de Mandin
Je ne doute pas que mon impertinence « d’utiliser » René Char, surprendra plus d’un visiteur… mais si un poète doit laisser des traces (des poèmes comme les tesselles d’une mosaïque) il ne doit pas pour cela déposer ses empreintes dans les rêves d’un autre, fut-il son père ou son mentor. René Char est mon ami, mon amitié (dans un seul sens pour cause de décalage horaire) s’est tissée en le lisant, nous nous sommes parlés… les poètes ont des silences qu’eux seuls peuvent entendre. D’autres sont aussi mes amis, (…)
1er février 2008
Regards hallucinés
"Voiler le corps
de la fille nubile
La jouvence écrit
sur un rapt inévitable
qui gonfle
la censure paternelle"
1er octobre 2007
Les Herbes hautes de Marianne Walter
"Souvent au vent des vents, au paisible de l’air,
comme regards effeuillés le long des ans,
en branches étendues
en reflet de patience, souvenance étrange
des jardins."
1er avril 2006
la vie, le vent
Avec ce recueil, l’auteur poursuit son oeuvre poétique. Il saisit les instants fugaces. L’aventure est peut-être à côté, et des vents mulptiples apportent le désir ou le trouble, révèlent parfois la mélancolie ou la solitude. "Légère et profonde", comme l’a qualifiée Andrée Chedid, son écriture touche juste. Ainsi que le lui a écrit Jean L’Anselme : "Aucun doute pour moi, tu montres le chemin à ceux de (…)
1er octobre 2003
Andrea Doria avec un chat à Gênes
Collection Alchimies poétiques
Gênes n’est pas seulement une ville merveilleuse : elle est un parfum d’épices et de mer, une danse entre le smontées et descentes de ses rues étroites, une mélodie des vents, des vagues et de sa langue qui chante, un cri à voix basse, un état d’âme autre… Jacques Darras qui, dans cette ville, a trempé sa plume et son coeur de poète, nous fait revivre avec son écriture enthousiasmante tous ces aspects dans une ode à Gênes et à son histoire."
Claudio (…)
Poème
de l’instant
Coplas
Il n’y a de chemins au ciel,
il n’y a de chemins en mer,
il n’y a de chemins sur terre
que pour seulement cheminer.