Le nouvel Athanor
1er juin 2009
Les cahiers du sens La parole
La parole
Colette Nys-Mazure, Thomas Szasz, Françoise Thieck
1er mai 2009
Gérard Pfister
Le chant de Gérard Pfister est "comme une offrande à un début de siècle avare de féconde méditation et de subtile et pourtant essentielle lumière intérieure".
1er mai 2009
Les arbres ont un regard de Jean-Yves Vallat
Préface de Jean-Marie Berthier
"Incarcérer dans la page
une gouache noire
jusqu’à la perte de lumière
car nous ne sommes que des pluies émiettées
et des millénaires de faux mondes…"
1er avril 2009
Les riverains du feu, par Christophe Dauphin
Une anthologie émotiviste de la poésie francophone.
Préface de Jean-Luc Maxence.
Sur plus de 500 pages, cette anthologie ouvre une sorte de révolution douce mais totale et laisse aux apothicaires de salon mesquineries et chapelles et jugements à courte vue. Ces textes constituent une étonnante tapisserie de paysages intérieurs dont le lyrisme polyphonique fonde la beauté et la force de conviction.
Parmi les auteurs : Jean-Luc Aribaud, Luc Bérimont, Daniel Biga, Patrice Delbourg, René Depestre, (…)
1er décembre 2008
Les cahiers du sens 2008 : l’attente
Les siècles à fleurir auront-ils assez d’air ?
Jean-Luc Maxence, Christophe Mory, Bruno Thomas, Maïté Vienne-Villacampa, Alain Noël, Chantal Danjou, Etienne Orsini, Paul Sanda, Geneviève Roch, Robert Liris, Jean-Marc Descotes, Antoine Fratini, Pierre Bonnasse, Jacquette Reboul, Frédérique de Gravelaine, Jean-Noël Cordier, Stéphane Galent, Léo Lubeit, Dany Moreuil, Jean Azarel, Raphaël Consejo, Jean-Pierre Boulic, Guy Allix, Matthieu (…)
1er septembre 2008
Bernard Jaobiak
Collection Poètes trop effacés.
Le poète Bernard Jakobiak, choisi pour son originalité foncière et sa générosité mystique inaugure une nouvelle collection au Nouvel Athanor, destiné à re-connaître des poètes injustement oubliés.
1er septembre 2006
Poèmes au secret de Bruno Doucey
"Ma maison est en flammes
ni elle ni moi
n’y pouvons rien
Elle brûle pour avoir trop veillé à l’orée des forêts."
Poème
de l’instant
« Le Voyage »
Mais les vrais voyageurs
sont ceux-là seuls qui partent
Pour partir ; cœurs légers,
semblables aux ballons,
De leur fatalité jamais ils ne s’écartent,
Et sans savoir pourquoi,
disent toujours : Allons !
Les Fleurs du Mal