Motus
Lorsque les éditions motus ont été créés, elles ont d’abord publié de la poésie pour adultes, spécifiquement dans la forme brève. Depuis quelques années, elles se consacrent principalement à la littérature jeunesse, mais continuent à accorder une place importante à la poésie. Une collection POMMES PIRATES PAPILLONS lui est dédiée et les éditions motus font d’ailleurs souvent appel, pour cette collection, à des poètes qu’elles avaient publiés auparavant. Les textes sont toujours inédits et allient exigence formelle, invention et humour. Les poèmes-affiches de motus sont une autre façon de placer la poésie devant les yeux de tous, et les livres-objets sont encore une manière de faire découvrir des poèmes aux enfants sous une forme moins conventionnelle et qui les « émerveille », pour reprendre la devise poétique d’Apollinaire.
Edition de poésie et collection pour la jeunesse
Type de livres
Reliés ou brochés, illustrés
Mode de diffusion
Directe
Année de création : 1998
Nombre de parutions par an : 3
Tirage moyen : 2000 ex
Auteurs phares :
Michel Besnier, Philippe de Boissy
Accepte de recevoir des manuscrits
Editeur : François David
Tél : 02 33 03 55 38
email : mots@editions-motus.com
21 avril 2021
Les chaussures de l’hippopotame
Collection : Pommes pirates papillons
« Des ciseaux mal écrits par un enfant sont devenus des oiseaux. Maintenant ils coupent le vent tout ça à cause d’un enfant qui faisait des poèmes dans ses fautes. »
30 poèmes magiques pour s’ étonner, sourire des petits riens qui font tout et de tout le reste qui n’est pas rien… David Dumortier signe ici son 4ème titre chez møtus. Un
recueil plein d’originalité, d’inventivité et d’inspiration, en parfait accord avec les illustrations riches d’humour et de tendresse (…)
2 octobre 2020
Nom d’un chien
Illustration Henri Galeron.
"Mimouche, Miosotys, Nestor, Oulala ou Ouistiti, souvent les chiens ont de drôles de noms." Du chihuahua au chow-chow, du cursinu au barbichon, du setter irlandais au chien-loup tchèque, François David et Henri Galeron rendent un hommage adorable à nos fidèles compagnons et à toutes leurs facéties. Ils nous offrent un livre rempli d’humour, d’invention et d’une immense tendresse envers nos amis à quatre pattes. NOM D’UN CHIEN est leur huitième ouvrage commun. Ils y (…)
24 avril 2020
Sur un arbre caché
Après l’accueil enthousiaste reçu par Un jardin sur le bout de la langue, voici le nouveau recueil de Constantin Kaïtéris et Joanna Boillat. Les fruits et légumes ont laissé la place aux arbres et à la forêt. Mais c’est la même savoureuse inspiration et la correspondance pareillement subtile et belle entre le texte et les images !
17 octobre 2019
Si tu pouvais décrocher la lune
À l’aide du célèbre jeu tangram, Simon Priem revisite avec beaucoup de poésie et de tendresse le pouvoir fascinant de la lune sur notre imaginaire. Il invite les petits comme les grands à poursuivre l’aventure et à décrocher la lune en assemblant les pièces de ses rêves.
Simon Priem est professeur des écoles depuis quelques années déjà, et comédien aux Clowns de l’Espoir pour passer du temps avec ces enfants qui regardent la vie avec de grands yeux. Il a voyagé à vélo sur les routes d’Asie pendant un an (…)
4 octobre 2019
Hurluberlures d’une grand-mère pas très sage
Illustrations de Séverine Perrier.
Si on ne peut pas dormir, on peut, on doit essayer les recettes de la grand-mère pas très sage. Et si ça ne marche pas… Françoise Coulmin nous livre de brillantes recettes pour mélanger les magies de nos enfances. Elle s’amuse en nous emportant dans un univers où les mots s’ entremêlent avec espièglerie. Pour rêver les yeux grands ouverts, ce voyage est magnifiquement illustré par les collages aussi beaux que surprenants de Séverine (…)
20 septembre 2019
Les funambules
Illustrations de Daria Petrilli.
Swan habitait au 10ème étage de la tour Azur. Il aimait observer l’agitation de la ville, très loin en bas et les passants-fourmis pressés sur le trottoir. Mia habitait au 11ème étage de la tour Rubis. Elle aimait, elle aussi, se mettre à la fenêtre, pour regarder le ciel changer de couleur et les nuages s’étirer, se déformer, puis s’en aller au loin.Tout bascula un matin. Juste devant Swan se dressait un immense mur gris. Seul l’imaginaire et les rêves leur permettent (…)
16 mars 2019
La piquante douceur de la joue de papa
Illustrations Sylvie Serpix.
Des mots et des images qui s’amusent à nous surprendre en se rapprochant !
15 janvier 2019
Cuisine au beurre noir
Après Le rap des rats, après Mes poules parlent et Mon Kdi n’est pas un Kdo, voici à nouveau réunis Michel Besnier et Henri Galeron pour une collaboration aussi pittoresque que savoureuse. Au menu : poésie et dérision à toutes les sauces et succulents secrets de fourneaux. Michel Besnier s’amuse beaucoup en revisitant avec espièglerie les recettes de cuisine et en se moquant du ton impératif des grands « chets » de la gastronomie que l’on voit à la télévision. Et quel plaisir de découvrir sa grande et (…)
1er juin 2017
Le sous-marin de papier
Illustré par Aude Léonard.
Poète francophone, lauréat du Prix Mallarmé, Werner Lambersy, traduit dans plus de vingt langues, a composé une œuvre dense. Il n’avait jamais toutefois écrit encore à l’intention de la jeunesse. Il a conçu pour Møtus Le sous-marin de papier où, sous les yeux de l’enfant, tout prend vie, dans la connivence, la surprise et la délicate inventivité.
Le sous-marin de papier
Du poème
Laisse-le plonger
Et remonter à la surface
Tu aimeras
L’équipage de mariniers
Qui te saluent (…)
1er janvier 2017
Petites gouttes de poésie
Les textes rassemblés dans ce recueil aussi beau qu’atypique sont à lire et à voir comme autant de « gouttes de poésie » de concentrés d’émotion savamment distillés dans l’alambic du poète.
Bobi+Bobi a composé pour le livre de merveilleuses images en très fine et subtile correspondance avec les mots du poète.
Poème
de l’instant
Poèmes
Au seuil du printemps, il est certains jours
Où la prairie se repose sous la neige dense,
Où les arbres font un bruit gai et sec,
Où le vent tiède est tendre et moelleux,
Où le corps s’étonne de sa légèreté,
Où l’on ne reconnaît plus sa maison,
Où la chanson qui déjà lassait
On la chante avec émoi, comme neuve.
Printemps 1915
Slepnévo