Passagers des vents
16 juin 2016
IntranQu’îllités n° 4 : Manifeste pour un nouveau monde
IntranQu’îllités n° 4
Revue de haute tension créatrice avec des pages qui vibrent et évoluent dans l’union libre des genres. Nous travaillons avec des poètes, des romanciers, des photographes, des philosophes, des musiciens, des peintres, des réalisateurs, pour constituer une poétique, façon boîte noire pour capter les vibrations et les imaginaires du monde, par le prisme de la beauté. Née par la force des choses au lendemain du séisme de 2010, IntranQu’îllités est conçue par ses fondateurs, James Noël (…)
1er juin 2016
IntranQu’îllités n° 4
IntranQu’îllités n° 4 Aminata Aidara, Hemley Boum, Aimé Césaire, Julien Delmaire, René Depestre, Ananda Devi, Christelle Evita, Gaël Faye, Armand "Gauz" Gbaka-Brédé, Nancy Huston, Dany Laferrière, Alain Mabanckou, Mohamed Mbougar Sarr, Karim Miské, James Noël, Rodney Saint-Éloi
1er mai 2013
IntranQu’îllités n°2
Vouloir rassembler des énergies de partout, pour produire un beau rêve déguisé en revue, pourrait sembler chimérique. Paradoxalement, cette chimère est le carburant de notre motivation, c’est elle qui fait vrombir notre moteur.
Dans notre premier numéro paru en mai 2012, nous avons proposé une union libre des imaginaires, perlée d’une centaine de contributions. Nous avons rendu hommage au grand Jacques Stéphen Alexis, auteur inspirant et qui appelle les frères humains, au fil de ces mots, à un devoir (…)
1er mai 2012
Intranqu’îllités
C’est toujours la même transe, la même contrebande : mince chaos du dedans, pour vastes échos dehors.
Entrée en matière
IntranQu’îllités. Ne vous fiez pas à l’île, qui saute aux yeux comme une proposition de soleil, de clichés de sables fins. On est souvent conduit à percevoir l’île comme un territoire replié sur ses bornes, où il suffirait de pivoter sur un pied pour en faire le tour. Le préfixe In dans IntranQu’îllités pourrait même renvoyer à la négation de l’insularité. Ce titre est une manière, (…)
Poème
de l’instant
Météorites
Dans chaque interstice de ses maux, dans chaque faille de ses souffles, dans la moindre déchirure de ses étoffes, dans l’extrême enfoui des apeurés de son infime : la candeur presque aride d’un décillé perdu…