respire

Je contemple la rue je dilate mes bras je respire tout s’est éteint devant mes yeux partout des lampes l’air et la rue vides - et je me retourne et j’éclaire ce que plus tard nous appellerons sa chambre
Poème
de l’instant
Un Temps fécond
Il est un homme, ailleurs, que le voyage habite, qui prend son dû au négoce du jour.
Léon Bralda, Un Temps fécond, Éditions Henry, 2019.